PLAYGROUND • de l’ère du « je » à l’aire de jeu

Amala Dianor

05 - 20 dec

#danse

Amala Dianor danse et sa danse vous entraîne dans le mouvement. Son secret ? Danser comme on respire. Créer des espaces festifs favorisant le défi et la rencontre. S’inspirer de tous les styles savants et populaires, des danses urbaines autodidactes aux danses traditionnelles - comme le sabar sénégalais, en passant par la danse contemporaine.

Repoussant toujours les frontières, le chorégraphe déplace les lignes de séparation pour créer de nouveaux espaces mêlés, délibérément pluriels, et déployer une nouvelle poétique de l’altérité. Sophistiquée, ondulatoire, fluide, intense, élégante, son écriture est une quête de soi et de tous les autres, un terrain de jeu, un syncrétisme.


« Et si on se laissait tenter collectivement par ces territoires sensibles ? Venez ! Amusons-nous, lâchons prise ! Vous verrez qu’alors, par un renversement joyeux, nous serons mieux à même de nous confronter, de nous découvrir, nous réconcilier, nous redéfinir et, finalement, nous unir dans l’instant et dans nos différences. »


Amala Dianor



    la presse en parle

    « Invité de la Maison des Métallos en parallèle des dates de Dub à Paris, avant de reprendre sa tournée française, Amala Dianor promet, avec Playground, une fête à sa manière. On y verra Man-Rec, solo qui le révéla, sa version féminine Wo-Man avec Nangaline Gomis, mais également des films, des rencontres et des parties. Dianor pourra alors déployer toutes ses vies de danseur et chorégraphe, du hip-hop au contemporain, de l'underground au contemporain, de l'underground au néo-africain. »

    Les Inrocks, Philippe Noisette (27 nov. 2024)  


    « Marcher à reculons sur les traces de son passé sans cesser d’avancer : c’est cette contradiction qui donne son énergie aux pièces d’Amala Dianor. Arrivé en France à l’âge de sept ans, celui qui a donné dans le hip-hop avant de se former à la danse contemporaine n’oublia jamais ses origines sénégalaises qu’il intègre dans ses chorégraphies via quelques touches de sabar. Pour sa carte blanche aux Métallos, il présente, entre autres, son classique Man Rec, et invite des collaborateurs de toujours comme le compositeur Awir Leon ou le plasticien Grégoire Korganow. »

    Mouvement  


    « Du jeudi 5 au jeudi 19 décembre 2024, Amala Dianor a carte blanche pour investir la Maison des Métallos à Paris. Il a choisi d’y déployer des spectacles en petites formes, et d’y inviter des artistes complices de ses créations. À l’affiche de ce programme : l’altérité à l’aune de la danse, de la fête et du défi. »

    Sceneweb (20 nov. 2024)