Se respira en el jardìn como en un bosque
On respire dans le jardin comme dans une forêt
Dans cette création immersive, El Conde de Torrefiel explore notre façon de comprendre et de construire la réalité. Se respira en el jardín como en un bosque est une expérience scénique captivante, pour une seule personne, qui occupe à tour de rôle celui d'interprète et de spectateur.
Se respira en el jardin como en un bosque est essentiellement un exercice scénique destiné à une seule personne. On y plonge dans une forêt symbolique, pour y alterner des moments contemplatifs, silencieux, et d’autres organisés en une chorégraphie de mouvements. De ce théâtre primitif et archaïque naît un jeu scénique d’actions simples qui invitent le participant à une réflexion sur la réalité indomptable du monde qui nous entoure. Un spectacle qui se réinvente à chaque fois, où chaque nouveau spectateur découvre un monde créé rien que pour lui. Celui qui assiste à la pièce occupe successivement le rôle d’interprète et de spectateur : l’un regarde en silence tandis que l’autre exécute une action sur scène. Une pièce de théâtre est alors proposée, à partir du récit soutenu par les mouvements simples des participant·es.
Cette expérience interroge la construction de la réalité et les conventions artistiques par le biais de la convention théâtrale qui perdure depuis des milliers d'années : faire quelque chose devant quelqu'un qui regarde en silence.
« Se respira en el jardín como en un bosque (On respire dans le jardin comme dans une forêt) est une pièce de pandémie, une pièce pour un acteur et un spectateur que nous avons imaginée à l’époque où il ne nous était pas possible de voyager, en juillet 2020. Nous refusions de faire du streaming, du théâtre en vidéo. Nous avons donc voulu adapter aux circonstances la convention théâtrale par excellence : faire quelque chose devant quelqu’un qui regarde. Du coup, c’est le spectateur qui endosse les deux rôles fondamentaux : faire et regarder. Et les textes donnés à entendre interrogent la construction de la réalité et les conventions artistiques. » — El Conde de Torrefiel (+)
Les œuvres scéniques d’El Conde de Torrefiel se caractérisent par des mises en scène où la chorégraphie, le texte et les images plastiques convergent pour créer des récits insolites et fragmentés. La compagnie travaille autour des tensions entre l’individu et le collectif qui caractérisent la société européenne du XXIe siècle. Elles remontent à la surface et se matérialisent sur scène de manière surprenante… Le théâtre est au cœur de la recherche de la compagnie et de ses créations ; un théâtre qui se mêle à la chorégraphie, aux arts plastiques et à la littérature. Outre la création de pièces scéniques au langage contemporain et très personnel, El Conde de Torrefiel a travaillé, au cours de la dernière décennie, avec d'autres formats tels que la vidéo, l'installation ainsi que la publication de textes.
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distribution
concept et création El Conde de Torrefiel
mise en scène, dramaturgie, texte Tanya Beyeler, Pablo Gisbert
espace sonore Rebecca Praga
direction technique Isaac Torres
son Uriel Ireland
voix Marion Cousin
traduction Marion Cousin
diffusion et accompagnement Alessandra Simeoni
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production
coproduction Santarcangelo Festival (Italie) • CSS Teatro stabile di innovazione del Friuli Venezia Giulia (Italie) • Cielo Drive
avec le soutien de Mas Nyam Nyam, Mieres
La Maison des métallos et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs du programme Maniefesto Sonoro et le présentent en coréalisation à l'occasion de cette 52e édition du FAP
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dates / horaires
mer. 18 oct.
jeu. 19 oct.
ven. 20 oct.
sam. 21 oct.
mar. 24 oct.
mer. 25 oct.
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infos pratiques
du mercredi 18 au mercredi 25 octobre
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du mardi au samedi 14h00 › 18h00relâche lundi et dimanche
durée 35min
tarif 5,9 ou 12€ (au choix)
en accès libre dans la limite des places disponibles
réservation conseillée
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la presse en parle
« Ce travail spécifique sur le son, le duo El Conde de Torrefiel le pousse un cran plus loin dans MANIFIESTO SONORO. Sous la forme d'une performance (Se respira en el jardin como en un bosque), d'une balade augmentée (Cuerpos Celestes) et d'un spectacle (Guerrilla), le vecteur sonore fournit à chaque fois le moyen de jouer avec les codes de la représentation théâtrale. » – Télérama (lire +)
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partenaires
dans le cadre de la 52e édition du Festival d'Automne à Paris
La Maison des métallos, le Festival d'Automne à Paris et la compagnie El Conde de Torrefiel remercient pour son soutien la Ville de Paris et le couvent des Récollets qui accueille l'équipe artistique le temps de cette co-programmation à la Maison des métallos, en octobre