Ils et elles sont artistes, ont fui la guerre et l’oppression et ont rejoint la France dans l’espoir de commencer une nouvelle vie. Leur récit est transmis à un·e comédien·ne qui parle face à un petit groupe de public, comme on confie une histoire intime à une oreille amie. Le comédien·ne tient une tablette avec le portrait de l’artiste dont il ou elle est la voix. Le portrait s’anime pour mettre en partage une autre manière de se raconter à travers son art. Chaque Je passe convoque des récits d’exilé·es différents. On en profite pour voir les quatre ?
la presse en parle
► Artistik Rezo (Charlotte Simoni, 03.02.22), Rencontre avec Judith Depaule, directrice de l'atelier des artistes en exil
► Libération (Romain Boulho, 01.03.22), [reportage] Belleville, inventaire d'exil
► Affaires en cours sur France Culture (Marie Sorbier, 15.03.22), Atelier des artistes en exil, continuer de créer malgré la guerre
► Beaux Arts (Maïlys Celeux-Lanval, 16.03.22), Judith Depaule : "en montrant les artistes en exil on essaie de détricoter les stéréotypes"
► Toute la culture (Thomas Cepitelli, 17.03.22), Faire passer des histoires : le théâtre de Judith Depaule
► Hottello (Véronique Hotte, 18.03.22), Je passe, conception de Judith Depaule à la Maison des métallos
► Sceneweb (Eric Demey, 22.02.22), Judith Depaule fait sa CoOP à la Maison des métallos