Enjeu d’innovation, de profits mais surtout de vie, il oppose depuis toujours les patients, les médecins et les laboratoires. Des parties à la fois partenaires et adversaires. Depuis les années 90, c’est une histoire en trois phases qui les lie. Celle de la survie (1990-2000), celle des traitements comme prévention avec l’arrivée en 2015 de la Prep, et désormais celle de l’accès aux antirétroviraux injectables longue durée.
Aujourd’hui, quelles forces pèsent dans la balance ? Jusqu’à quand la sécurité sociale va-t-elle pouvoir soutenir l’accès aux traitements financièrement lourds comme les antiviraux injectables ? Et à l’avenir, de quelles innovations profiter ?

