spectacle

WO-MAN

à l'occasion de la fête métallos des familles

Sam. 14 dec 2024

#danse
    dates & horaires

    sam. 14 déc. 2024 à 17h30

    infos pratiques

    tout public, à partir de 7 ans

    durée 20 min

    gratuit

    réservation conseillée


    ouverture des réservation : 1er décembre 2024

    distribution

    chorégraphie Amala Dianor

    musique Awir Léon

    interprétation Nangaline Gomis

    costume Laurence Chalou

    direction délégué Mélanie Roger

    chargée de production Lucie Jeannenot

    production

    Première 15 octobre 2021, les Quinconces – L’espal, scène nationale Le Mans


    coproduction Théâtre de la Ville (Paris) • Les Quinconces et L’espal scène nationale le Mans • Maison de la Danse de Lyon • Touka Danses, CDCN Guyane • Bonlieu Annecy scène nationale


    avec le soutien de l’Etat - DRAC Pays de la LoireVille d’Angers

    accueil en résidence Théâtre Chabrol (Angers)

    à propos de...

Amala Dianor réfléchit depuis longtemps à la manière de transmettre son solo Man Rec, qui ne cesse de tourner depuis sa création en 2014. Imprégné de toutes ses influences techniques (hip hop, danse contemporaine et africaine…), ce solo incarné par Nangaline Gomis représente le manifeste intime du chorégraphe où se déploie la trame d’une écriture hybride et singulière, à la fois dépouillée et complexe, abstraite et incarnée, énergique et tranquille. Un dialogue entre ses origines multiples — des danses urbaines à la danse contemporaine, questionnant l’identité de l’individu et son rapport aux autres.


C’est sa rencontre avec Nangaline Gomis en 2018 qui lui inspire Wo-Man. Plutôt qu’une reprise de Man Rec, il imagine pour la jeune danseuse franco-sénégalaise un prolongement de cette chorégraphie, son pendant féminin. Interprète à l’énergie pulsatile, Nangaline offre au chorégraphe de se transposer dans un autre corps que le sien pour réinscrire, reconstruire, réinventer son histoire. À sa manière, elle s’approprie les thèmes du solo d’Amala Dianor et cette gestuelle hybride et fluide pour réinventer un récit.


En wolof, langue la plus parlée au Sénégal, Man signifie « moi ». Man Rec : « moi seulement ». Wo-Man sera ainsi la version féminine de ce « moi » choral, riche d’influences diverses, de racines plurielles.




    la presse en parle

    « En guise de préambule à ce rendez-vous, Amala Dianor dévoilait [...] la version féminine de son solo Man Rec. WO-MAN est un prolongement plus qu’un duplicata dansé. Une offrande qui voit Nangaline Gomis – une révélation - se muer en guerrière ou en magicienne. La danseuse est tous les « moi » du titre –Man signifiant moi en Wolof. La chorégraphie, ainsi magnifiée, captive. Amala Dianor a dansé Man Rec 150 fois. WO-MAN devrait marcher sur ses traces. »

    Sceneweb, Philippe Noisette (22 oct. 2021) 


    « En 2020, Amala Dianor, plutôt qu'une reprise de son solo, imagine pour elle un prolongement de la chorégraphie, une recréation sur le corps d'une jeune femme. Interprète à l'énergie pulsatile, Nangaline offre à l'auteur de se transposer dans un autre corps que le sien, pour réinscrire, reconstruire, réinventer son histoire. Ce solo résonne comme une extension, un prolongement de soi-même qui s'appuiera sur la tonicité, la vitalité et la ferveur d'une jeune interprète engagée. »

    Sceneweb (03 sept. 2021)  


    « Le célèbre solo masculin Man-Rec, qu'Amala Dianor a créé en 2014 et qui tourne très régulièrement depuis lors [...], devient un solo féminin intitulé Wo-Man, crâne et sensuel, avec Nangaline Gomis. Dans cette alter ego féminine, Amala Dianor a trouvé une virtuosité semblable à la sienne, qui se déploie dans un magnifique costume bleu. Belle et talentueuse, Nangaline Gomis, diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon en 2019, donne vie et chair à ce solo iconique. »

    ResMusicaDelphine Goater (10 fév. 2022)  


    « Et quelle prestance ! Entrée d’un pas assuré au plateau, dans un habit bleu électrique, c’est tout aussi survoltée qu’elle mène le solo jusqu’à son terme. Isolations, extensions, relâchements, chaque technique, issue d’un savant mélange des styles cher à Amala Dianor, est maîtrisée avec une fluidité remarquable. D’un regard exalté, Nangaline toise la salle et joue avec. Le plateau est nu mais elle est partout. Sur la musique sourde, Nangaline vole, survole, tient les spectateurs en haleine avec une présence folle. Elle joue avec le rythme, et surprend minute après minute, défiant même le temps, suspendu. Une énergie rare qui, si l’on peut être tenté de la qualifier de juvénile, mérite davantage l’adjectif de talentueuse. »

    La TerrasseLouise Chevillard (26 jan. 2022)


    « Depuis plus de dix ans, le chorégraphe glisse d’une grammaire à l’autre avec virtuosité et articule les disciplines à travers de nouveaux espaces de rencontres et de travail. Avec ses nouvelles créations Wo-man et Point Zéro, Amala Dianor remet en jeu son écriture et son plaisir de danser avec d’autres corps. »

    Ma Culture, Belinda Mathieu (28 fév. 2022)


    « Nul doute toutefois que la personnalité affirmée de cette jeune professionnelle - diplômée du CNSMD de Lyon, elle conjugue notamment une formation en danse africaine et contemporaine - ne lui permette bientôt de s’approprier totalement cette expression à la première personne de la rage d’exister. »

    Danser Canal Historique, Isabelle Calabre (31 jan. 2022)


    dates & horaires

    sam. 14 déc. 2024 à 17h30

    infos pratiques

    tout public, à partir de 7 ans

    durée 20 min

    gratuit

    réservation conseillée


    ouverture des réservation : 1er décembre 2024

Amala Dianor réfléchit depuis longtemps à la manière de transmettre son solo Man Rec, qui ne cesse de tourner depuis sa création en 2014. Imprégné de toutes ses influences techniques (hip hop, danse contemporaine et africaine…), ce solo incarné par Nangaline Gomis représente le manifeste intime du chorégraphe où se déploie la trame d’une écriture hybride et singulière, à la fois dépouillée et complexe, abstraite et incarnée, énergique et tranquille. Un dialogue entre ses origines multiples — des danses urbaines à la danse contemporaine, questionnant l’identité de l’individu et son rapport aux autres.


C’est sa rencontre avec Nangaline Gomis en 2018 qui lui inspire Wo-Man. Plutôt qu’une reprise de Man Rec, il imagine pour la jeune danseuse franco-sénégalaise un prolongement de cette chorégraphie, son pendant féminin. Interprète à l’énergie pulsatile, Nangaline offre au chorégraphe de se transposer dans un autre corps que le sien pour réinscrire, reconstruire, réinventer son histoire. À sa manière, elle s’approprie les thèmes du solo d’Amala Dianor et cette gestuelle hybride et fluide pour réinventer un récit.


En wolof, langue la plus parlée au Sénégal, Man signifie « moi ». Man Rec : « moi seulement ». Wo-Man sera ainsi la version féminine de ce « moi » choral, riche d’influences diverses, de racines plurielles.




    distribution

    chorégraphie Amala Dianor

    musique Awir Léon

    interprétation Nangaline Gomis

    costume Laurence Chalou

    direction délégué Mélanie Roger

    chargée de production Lucie Jeannenot

    production

    Première 15 octobre 2021, les Quinconces – L’espal, scène nationale Le Mans


    coproduction Théâtre de la Ville (Paris) • Les Quinconces et L’espal scène nationale le Mans • Maison de la Danse de Lyon • Touka Danses, CDCN Guyane • Bonlieu Annecy scène nationale


    avec le soutien de l’Etat - DRAC Pays de la LoireVille d’Angers

    accueil en résidence Théâtre Chabrol (Angers)

    à propos de...
    la presse en parle

    « En guise de préambule à ce rendez-vous, Amala Dianor dévoilait [...] la version féminine de son solo Man Rec. WO-MAN est un prolongement plus qu’un duplicata dansé. Une offrande qui voit Nangaline Gomis – une révélation - se muer en guerrière ou en magicienne. La danseuse est tous les « moi » du titre –Man signifiant moi en Wolof. La chorégraphie, ainsi magnifiée, captive. Amala Dianor a dansé Man Rec 150 fois. WO-MAN devrait marcher sur ses traces. »

    Sceneweb, Philippe Noisette (22 oct. 2021) 


    « En 2020, Amala Dianor, plutôt qu'une reprise de son solo, imagine pour elle un prolongement de la chorégraphie, une recréation sur le corps d'une jeune femme. Interprète à l'énergie pulsatile, Nangaline offre à l'auteur de se transposer dans un autre corps que le sien, pour réinscrire, reconstruire, réinventer son histoire. Ce solo résonne comme une extension, un prolongement de soi-même qui s'appuiera sur la tonicité, la vitalité et la ferveur d'une jeune interprète engagée. »

    Sceneweb (03 sept. 2021)  


    « Le célèbre solo masculin Man-Rec, qu'Amala Dianor a créé en 2014 et qui tourne très régulièrement depuis lors [...], devient un solo féminin intitulé Wo-Man, crâne et sensuel, avec Nangaline Gomis. Dans cette alter ego féminine, Amala Dianor a trouvé une virtuosité semblable à la sienne, qui se déploie dans un magnifique costume bleu. Belle et talentueuse, Nangaline Gomis, diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon en 2019, donne vie et chair à ce solo iconique. »

    ResMusicaDelphine Goater (10 fév. 2022)  


    « Et quelle prestance ! Entrée d’un pas assuré au plateau, dans un habit bleu électrique, c’est tout aussi survoltée qu’elle mène le solo jusqu’à son terme. Isolations, extensions, relâchements, chaque technique, issue d’un savant mélange des styles cher à Amala Dianor, est maîtrisée avec une fluidité remarquable. D’un regard exalté, Nangaline toise la salle et joue avec. Le plateau est nu mais elle est partout. Sur la musique sourde, Nangaline vole, survole, tient les spectateurs en haleine avec une présence folle. Elle joue avec le rythme, et surprend minute après minute, défiant même le temps, suspendu. Une énergie rare qui, si l’on peut être tenté de la qualifier de juvénile, mérite davantage l’adjectif de talentueuse. »

    La TerrasseLouise Chevillard (26 jan. 2022)


    « Depuis plus de dix ans, le chorégraphe glisse d’une grammaire à l’autre avec virtuosité et articule les disciplines à travers de nouveaux espaces de rencontres et de travail. Avec ses nouvelles créations Wo-man et Point Zéro, Amala Dianor remet en jeu son écriture et son plaisir de danser avec d’autres corps. »

    Ma Culture, Belinda Mathieu (28 fév. 2022)


    « Nul doute toutefois que la personnalité affirmée de cette jeune professionnelle - diplômée du CNSMD de Lyon, elle conjugue notamment une formation en danse africaine et contemporaine - ne lui permette bientôt de s’approprier totalement cette expression à la première personne de la rage d’exister. »

    Danser Canal Historique, Isabelle Calabre (31 jan. 2022)